Les jeunes accompagnés ont réussi

Laura est aujourd’hui infirmière après ses études à l’IFSI de Versailles

  • Une jeune fille de 20 ans en décrochage dans ses études à l’Université (distanciel pendant la crise sanitaire). Repliée chez sa mère, déprimée, en panne de projet, stressée par ses cours de conduite.

= > Accompagnement de 3 mois : permis de conduire et BAFA obtenus, premier travail alimentaire, « déclic » pour échanger en anglais, confiance et projet d’avenir retrouvé.

  • Une élève de seconde année de très bonne Prépa scientifique « craque » 3 semaines avant le début des concours. Crise de confiance liée à des résultats en dessous de la moyenne de sa classe, sensation d’être dans une impasse et perd pied

= > Accompagnement intensif de 2 mois avant et pendant le cycle de concours. Aujourd’hui en seconde année d’école d’ingénieur impliquée dans une association internationale, envisage un double cursus avec du Management ou des Sciences politiques.

« Florence ne connaît rien des programmes de prépa sciences mais s’y connaît trop bien en soutien des personnes. Au final, ce n’était pas la fin du monde, mais j’avais besoin d’aide pour passer cette étape ».

  • Un jeune homme de 22 ans, Haut Potentiel et Bac S mention TB, décroché de ses études de commerce puis en échec dans les concours de la fonction publique.

= > Accompagnement intensif d’un mois en juin : premier concours réussi, puis un second, aujourd’hui dans un parcours professionnel à la hauteur de son potentiel

La mère témoigne : « C’est un autre homme, il s’épanouit… Vous ne pouvez pas savoir le soulagement que c’est en tant que parent ».

  • Une élève de Terminale démotivée et en manque de confiance en elle, sous traitement pour un TDAH :

= > Accompagnement de 6 mois, écoute active et travail sur l’estime de soi, mise en lumière de capacités hors normes, entrainement aux épreuves du Bac, aide à la définition du projet Post Bac. Bac mention AB, commence des études en Histoire de l’Art et Archéologie.

« Le coaching m’a fait voir mes points forts et m’a motivée pour travailler… et avoir mon Bac. »

  • Une élève de 1ère souffrant de phobie scolaire et de problèmes de santé, avec des problèmes personnels

= > Accompagnement intensif visant le renforcement de l’estime de soi et l’autonomisation.

« Le coaching me donne le courage de travailler et d’essayer d’aller le plus possible en cours malgré mes crises d’angoisses. Je sais qu’il y a au moins une personne qui me comprend ».

  • Un élève de 1ère gêné par un trouble de l’attention

= > Travail spécifique sur l’attention, + 2 points de moyenne générale en 6 semaines.

« Florence m’a donné confiance et le courage de suivre une méthode de travail ; j’ai réduit les écrans le soir, je dors plus qu’avant ».

  • Une élève de 1ère ST2S gênée par une dyslexie, très stressée par l’oral de Français, travaille beaucoup avec des résultats faibles, anxieuse avec des troubles d’endormissement.

= > Préparation intensive d’1 mois, 14 à l’oral. Accompagnement de 3 mois l’année suivante : Bac Mention AB. Aujourd’hui en dernière année d’école infirmière à Versailles.

Sa mère témoigne : « Il y a Laura avant Florence et Laura après Florence. C’est tellement bien de la voir maintenant sur sa voie et à l’aise. Je le recommande à tout parent qui ne sait pas comment aider son enfant. »

  • Une collégienne en fin de 3ème stressée par l’oral du Brevet

= > Deux séances de préparation : 16 à l’oral

« J’ai mieux compris ce qu’il fallait faire, c’était utile de faire une simulation. J’ai appris à gérer mon stress ».

  • Un collégien de fin de 4ème, peu motivé, entièrement dépendant pour travailler, avec un conflit familial lié au scolaire

= > Accompagnement d’un an vers l’autonomie, Brevet obtenu, aujourd’hui en seconde au lycée Jules Ferry à Versailles.

« J’étais dans la boue ; maintenant je suis sur mon chemin ».

  • Une jeune française arrivant en septembre des USA (fille d’expatriés), mal du pays et « choc de culture » au collège public (en classe de 4ème), lacunes en Français.

= > Accompagnement à la carte de 5 séances dont 2 en présentiel et les autres au téléphone : transmission des codes du collège public français, mise en lumière du potentiel, métacognition  « apprendre à apprendre », conseil aux parents : confiance retrouvée, résultats excellents en fin d’année.

  • Un collégien en 5ème, malade trois jours avant la rentrée des classes (en limite de phobie scolaire), résultats moyens en 6ème, n’ayant jamais vraiment travaillé, et « n’aimant pas les maths ». Conflit familial lié au scolaire.

= > 3 mois d’accompagnement, « déclic » : « En fait j’aime les maths ». « C’est facile de tout mémoriser et de se concentrer en classe ».

Le père témoigne : « Il performe vraiment maintenant en fin d’année ; l’accompagnement a débloqué les choses : il a trouvé le goût de travailler et réussir car ses résultats n’ont fait que s’améliorer. C’est une progression en flèche. »

  • Une collégienne de 5ème plutôt bonne élève souhaitant apprendre à travailler plus efficacement, devenir autonome en maths, prendre confiance en elle et s’exprimer àl’oral.

= > 3 mois d’accompagnement,  participation orale accrue, + 2 point de moyenne générale et autonomie acquise.

Sa mère témoigne : « Cet accompagnement a été une aide majeure. Elle sait comment travailler, ses résultats sont bons ; il n’y a plus de tensions avec son père au sujet des maths. »

  • Un jeune garçon de CM2 bon élève mais « bavard et dispersé »

= > Concentration accrue, excellence des résultats en fin de trimestre

« Je suis content de savoir comment apprendre et j’ai compris pourquoi il faut écouter en classe »

  • Une jeune fille de CM2 dans un contexte territorial défavorisé, accro aux écrans et  ne travaillant pas :

« Vous nous expliquez le sens de l’école et nous donnez l’envie d’y arriver. Vous êtes quelqu’un qui s’intéresse aux émotions des personnes.  Je vous remercie d’avoir passé des messages à ma maman ».

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Des adultes en évolution ou reconversion

  • Un cadre B de la fonction publique :

= > Concours de cadre A réussi.

  • Une directrice de crèche en formation professionnelle, en panne en mars :

= > Diplôme obtenu en juillet, 14 au mémoire.

Une créatrice d’entreprise artisanale doutait de sa capacité à réussir

= > fête les 10 ans de son entreprise.

  • Une cinquantenaire « zèbre » et bénéficiaire du RSA :  = > détection et valorisation du potentiel, retour à l’emploi pérenne.
  • Un quarantenaire responsable informatique licencié = > accompagnement de retour à l’emploi abouti en 2 mois.